aprés le Démon...

Mandra est surpris de cette réaction
mais il l'a trouve belle!
on dirait une jeune, une pure, alors que Boa est loin de l'être...

Il reste tout tout près d'elle a lui effleurer un bras, une joue, ses cheveux

Te ramener à l'auberge?
en voilà une drôle d'idée ma Boa!


Il continue e tenter de l'a rassurer, de l'a calmer
Il lui lisse ses cheveux, lui becote son visage

Au contraire, ma Boadice d'amour, tu as très bien fait de venir ici!
Souvient toi!
Ma maison t'a beaucoup plu!
Rencontrer Céleste aussi!
Découvrir ma chambre aux 1000 joujoux également!

Il essaie de plonger ses yeux dans les siens, de lui montrer son affection, de lui montrer comme il tient à elle

Mandra murmure  même la langue de Démon tu as appréciée..

Je te fais découvrir et te ferais découvrir tout pleins de sensations!
Mais parfois certaines ne te plairont pas et alors
se penche pour tenter de t'embrasser
je ne recommencerai pas !

Démon est puissant, fougueux,intense!
cela t'a fait sentir sale?
il ne recommencera que quand tu voudras retenter... si tu le veux un jour!


je peux te rassurer sur un point!
même s'il recommencer tous les jours, s'il remplissez ta fleur tous les jour, jamais et j'insiste bien jamais une de ses graine germinerai en toi!
Je ne sais pas le pourquoi mais je peux te l'assurer!



Mandra prend Boa dans ses bras et l'a caline

lààààà tu n'as plus peur ma douce et belle?

Mandra à l'air désolé. Il lui caresse les cheveux, la joue, il veut la rassurer.

Il n'a pas l'air d'accord qu'elle rentre à l'auberge, il lui parle de sa belle maison de toutes les choses qu'il peut lui faire découvrir.

De grosses larmes coulent encore le long de ses joues toujours très pâles.

Alors, lui, le médecin, lui explique que la semence du chien ne peut germer en elle. C'est impossible. Cela la rassure. Elle le croit. Boadicé se détend un peu.

Mandra s'en rend compte et la prend dans ses bras et la câline.

Citation :

lààààà tu n'as plus peur ma douce et belle ?

Boadicé se sent comme une enfant qu'on aurait battue sans raison et après cet évanouissement, ou le supplice qu'elle a enduré, elle se sent faible.

Elle lui murmure, restant dans ses bras :

Non, mais j'ai très mal partout Mandra. Même ma fleur est en feu. Il m'a fait mal ! Plus jamais, promets moi !
Et puis, fais venir ma petite servante Aubrée, j'ai besoin d'elle. Anne et Adam, tout.

Elle le regarde, ses yeux sont plus bleus clairs, soulignés de cernes mauves, ses longs cheveux blonds éparses, elle ne le sait pas, mais elle est plus belle encore, plus délicate, plus que jamais femme à protéger, à garder.

D'une petite voix, elle lui demande :

Il faut me soigner tu es docteur. Ne me touche plus durant quelques jours, j'ai trop mal. Je sais me battre mais pas prisonnière. Mandra, si je suis avec toi, c'est aussi pour que tu m'aimes et que tu me protège, mes maris sont morts, j'ai souffert dans mon coeur, je ne veux pas que tu me fasses souffrir dans mon corps.

Tu me comprends dis ?

Mandra continue à lui caresser les bras, les joues

Tu as mal partout ma Boa ?
caresse ta poitrine,glisse jusq'à ta fleur
je te promet que Démon te retouchera, te  regouteras que si tu le veux!


tenlace et embrasse ton épaule.
Boadice je ne veux que ton bien tu le sais
Je ne vais te faire du mal!
Laisse moi regarder ta fleur je vais en prendre soin
murmurepour que tout Polignac puisse entendre ta jouissance!

et ne t'inquiète  pas je vais  envoyer  un serviteur  chercher ta fille

t'embrasse  tendrement

Mandra se penche vers Boadicé.

Citation :

Tu as mal partout ma Boa ?
je te promet que Démon te retouchera, te  regouteras que si tu le veux!

Il la caresse doucement, mais même doucement sa fleur est sensible, elle pousse un gémissement.

Je ne veux plus JAMAIS Mandra qu'un animal me touche. Tu entends ?

Une nausée la submerge encore. Est-ce le dégoût, la peur, ou autre chose ? Elle frissonne.

Citation :

Boadice je ne veux que ton bien tu le sais
Je ne vais te faire du mal!
Laisse moi regarder ta fleur je vais en prendre soin

Elle hoche la tête.

Oui, mais en tant que Médecin, tu veux bien ?

Citation :

et ne t'inquiète  pas je vais  envoyer  un serviteur  chercher ta fille

Pas que ma fille, Mandra, je veux ma petite servante Aubrée, et mon homme de confiance Adam.
Je l'ai embauché. Il doit d'ailleurs s'inquiéter.
Surtout ne lui dit rien. Mais Aubrée pourra t'aider sans parler. Elle m'est fidèle, c'est comme ma soeur.

Il l'embrasse tendrement. La blondine espère qu'il a compris qu'elle ne veut plus jamais refaire ça.

Elle le retient par son pourpoint.

"Tu m'aimes Mandra ? Si oui, respecte moi !"

Mandra a l'air surpris que Boadicé résiste. C'est qu'il ne la connait pas encore complètement.
Il lui caresse les cheveux et semble lui promettre d'arrêter de lui faire connaitre ses animaux.

Il va chercher sa trousse de médecin et l'examine. Elle se laisse faire et il reconnait qu'elle est irritée, que son chien était déchainé, qu'il lui a fait mal.

N'as-tu pas des baumes à me mettre pour calmer les brûlures ? C'est très douloureux et désagréables ?

Lui demande-t-elle d'une douce voix.

Quand elle lui dit qu'elle souhaite qu'il la respecte s'il l'aime, elle voit ses yeux de braise changer.

Citation :

Te respecter? comme si c'était mon style de ne pas le faire!

Je te crois, Mandra. Mais, je veux que notre relation ne soit pas fixer que sur notre attirance pour.... le sexe. Je veux une vraie vie avec toi, que tu connaisse Anne. Elle a toujours besoin d'un Père.

Comme il est venu au dessus-d'elle, qu'il la caresse doucement ses jolis seins blancs, elle scelle sa promesse d'un long baiser.

Tu ne veux pas me soigner dans ton joli lit aux draps de soie, ici, j'ai l'impression que ton monstre va revenir.
Et n'oublie pas, mon Mandra, ma famille. Fais les venir.

Elle lui caresse ses longs cheveux noirs, se soulève légèrement en lui donnant un autre baiser et lui sourit.

Mandra sourit à la requete de Boa

des baumes?
regarde dans son sac et en voit pas
pas sur moi mais si tu me donnes une seconde...
Mandra caresse la joue de Boa, se léve et sort de la piéce pour aller dans son cabinet
il revient vite
voilà c'est à base de pavot j'en est extrait la morphine, tu vas voir cela apaiser tes douleurs
[il pense avoir prit le bon pot mais il a prit celui contenant ...la créme à l'ortie]

Mandra plonge le baton dans le pot et commence à étendre sur tes pétales
va et vient, lentement, partout, n'oublie pas la moindre parcelle!

voilà cela devrait calmer les douleurs.
Si cela pique un peu au dédébut c'est que cela agit
défense d'y toucher de la journée ma patiente!

Lorsqu'il en a finit, la phrase de Boa le fait sourire

Notre attirance pour le sexe?
Tu le dis comme si cela était mal!
rhooooo
Tu as raison! il faut un pére a ta fille .... mais aussi une Mére à mon fils!
Si Esta reste chez les moines, il faudra s'occuper d'Aldéric^^Ne t'inquiéte pas on aura une vraie vie ensemble! on voyagera! on aura d'autres enfants! on fera tout pleins de folies ! et pas que dans mon lit !
rit

Mandra se roule à coté d'elle pour lui permettre de voir

regarde le plafond!
pedant que tu étais encore sous l'intensité et la force de Démon je t'ai porté dans mon lit imense!
regarde toi comme tu es belle!

Mandra se penche au dessus d'elle et l'embrasse avec passion, avec fougue!
Il passe ses mains sur es bras, il caresse ses flancs
prend sa poitrine dans ses doigts et joue avec
il est à deux doigts de plonger dans sa fleur qui doit se reposer il se reprend juste à temps et caresse seulement son mont


Oui ma Boa je n'oublie pas!


Il se léve va vers la porte et alors que Boa est allongée toute nue sur son dos l'ouvre

j'y vais de ce pas mon trésor!
je te laisse en compagnie de Bertrand

Mandra souffle un baiser sur sa main en sortant alors que....

Mandra se montre plein de gentillesse et de prévenance. Il lui applique un baume qui doit calmer sa douleur. Il lui explique que cela risque de piquer un peu au début.

Elle s'aperçoit enfin qu'en effet elle est dans le beau et magnifique lit de Mandra. Il vient s'allonger près d'elle et lui demande de se regarder dans le miroir du ciel de lit. Elle est étendue comme une étoile de mer, ses longs cheveux blonds autour d'elle.

Citation :

Regarde toi comme tu es belle!

Elle le laisse l'embrasser et répond à son baiser, la caresser, elle comprend qu'il se retient car sa fleur a besoin de repos. Justement à ce propos, ce baume commence à la piquer un peu trop à son gré. La blondinette ne dit rien. C'est peut être normal.

Il se lève, et lui déclare aller chercher tout son petit monde. Mais, voilà qu'il fait rentrer Bertrand comme si elle avait besoin d'un veilleur.

Citation :

Bonjour dame!
Maitre m'a dit de veuillez sur vous^^

Le voilà qu'il s'assoie juste en face d'elle toujours installée en étoile de mer. Mais c'est dans cette position qu'elle a moins mal.

Un moment passe sous le regard dévorant de Bertrand.

Ce n'est pas possible ! Mais, quel baume lui a-t-il appliqué ? Sa douloureuse fleur est maintenant comme brûlée et elle a une envie irrésistible de se toucher, de gratter. Elle ne veut surtout pas, et surtout pas devant l'impassible serviteur.

Soudain, elle lui crie :

Bertrand, vite, va chercher ton maître ! dis lui que je vais très mal ! Qu'il apporte un autre baume ! Cours, ne reste pas là planté !

Boadicé ne peut s'empêcher de lancer un hurlement de douleur qui se termine en gémissement. Elle se tord dans les draps de soie.

La blondinette voit le colosse se lever et s'asseoir près d'elle.

Citation :

Gné? moi ? courir?
non non je suis là pour veuillez sur vous!
peut être que je pourrai vous faire du bien? apaiser ce qui vous agite madmoiselle ?

Le voilà qui se met entrain de la caresser les seins et s'approcher de sa fleur sans y toucher heureusement.
Boadicé essaie de repousser sa main.
Elle lui parle plus gentiment, le priant d'arrêter.

Bertrand, s'il te plait, arrête. Ton Maître a du se tromper de baume, il faut que tu ailles le chercher, j'ai encore plus mal qu'avant. Tu veux bien être gentil, ne me touche plus. J'ai besoin de repos.

Elle se mit à pleurer de douleur. Décidément, elle n'arrêtait pas de pleurer ici. Elle en avait assez.

Laisse moi, je t'en prie.

Elle attrapa la couverture de fourrure s'en enveloppa et essaya de ne plus bouger tant que Mandragore ne serait pas revenu et elle se mit à prier.

Aristote ! Je sais que ce n'est pas une maison pour vous prier, mais venez à mon secours. J'ai peut être fait une erreur en venant chez Mandra.
Il dit qu'il ne veut pas me faire de mal, mais je ne fais que souffrir depuis cet après-midi. Aidez-moi, Aidez-moi, Seigneur !

Elle repoussa encore Bertrand en grognant et en se tournant. Elle pensa, je ne peux même pas rentrer à l'auberge, je n'ai plus de vêtement.

Avec un petit soulagement, elle voit Mandra qui accoure, repousse violemment Bertrand et se penche sur elle, l’air inquiet et interloqué.

Citation :

Mais que t'arrive til mon coeur?
Ma belle Boa!
je devais apaiser tes souffrances et on dirait que je n'ai pas réussi?

Laisse moi regarder!
je vais arranger cela !

Elle a du mal même à bouger sous sa couverture de fourrure tellement cela la brûle. Pour s’être piqué les bras un jour avec des orties, elle a l’impression……

Il lui prend tendrement les mains.

Mandra….. on dirait qu’on m’a enduite d’orties. J’ai malllllllll ! Tu ne t’es pas trompé de baume ?

La blondine laisse toujours ses larmes couler de ses joues.

Il faut que tu me guérisses. Je n’en peux plus là. Après ton….

Le mot a du mal à passer.

chien, ce que tu m’as mis me fait encore plus mal. Je t’en prie, soulage moi ! Et si ça va mieux, je veux un bain ! un bain tiède avec de douces senteurs pour me laver de ton…. démon.

Elle s’accroche à son cou, pantelante, épuisée.

Il l’a portée devant la cheminée, et déposée sur une peau d’ours. Elle se laissait faire. Elle souffrait.

Quand elle lui dit qu’elle pensait qu’il lui avait mis un baume à l’ortie, il courut chercher des choses dans son labo.

La blondine resta sans bouger. Elle n’en pouvait plus.

Le médecin prit le dessus sur l’amant et il se mit à la soigner.

Citation :

Làààààà mon trésor!
Ca va mieux?

Elle se laissa faire comme une enfant. Et comme elle lui a demandé un bain, il court faire chauffer de l’eau.

Il revient et s’allonge contre elle, il la câline. Elle se calme, le feu des orties semble s’apaiser un peu.

Mais Mandra ne peut s’empêcher de lui caresser les seins, de la dorloter plus qu’il ne devrait.

Alors, elle lui dit « Laisse-moi m’occuper de toi, uniquement de toi ».

C’est facile avec Mandra car elle a remarqué qu’une bosse s’était formée sur ses braies. Alors, elle baisse ses braies et effleure de ses mains sa tige. Elle se soulève, sur le ventre, elle glisse sur la peau d’ours, laissant ses jambes toujours entrouvertes pour sa douleur, et ses lèvres vont se poser sur le sexe de Mandra. Son gland se présente déjà découvert et d’une belle couleur. D’une petite langue pointue, elle le titille, passe autour, le lèche, le suce. Ses lèvres s’ouvrent, elle prend ce gland entre ses douces lèvres et d’un coup, elle prend sa tige en entier dans sa bouche. Ses lèvres se serrent, sa main se met à le branler, sa bouche le gobe, elle l’enfonce loin, ressort, l’enfonce plus loin jusqu’à la garde, ressort, va au plus loin au fond de sa gorge. Elle plonge ses yeux d’azurs dans ses braises brillantes, il la prie de continuer, et elle renforce ses va et vient. Elle va vite, fort, l’enfonce au plus loin, sa main le branle.

Et soudain, elle l’entend, et sent sa tige vibrer au fond de sa gorge, elle reçoit de longs jets tièdes et puissants. Sa bouche entière est remplie. Elle le regarde encore, il appuie son pubis sur sa bouche pour qu’elle le garde encore, alors, elle avale sa semence et le caresse de sa langue.

Boadicé lui sourit. D’un coup de reins, elle revient près de lui, le laissant reprendre sa respiration, pose sa tête sur son torse.

Je suis heureuse Mandra. Tu étais à moi.

Comme il avance les mains, elle le retient, se rallonge, lui murmure.

Je t’en prie, tu ne peux savoir combien cette journée m’a épuisée. Ces douleurs…… si l’eau est chaude, mais pas trop chaude hein ? porte moi dedans, s’il te plait. J’ai besoin de me relaxer, de me purifier après ton….. démon. Tu dois bien avoir des sels de lavande dis ?

Il la soulève comme si elle était un brin de paille et la dépose dans la baignoire. Puis il fait des allers retours et déverse de l'eau chaude à une bonne température sur elle, jusqu'à la recouvrir.

Il va aussi chercher des pailles de lavande et la met dans l'eau. Cela sent délicieusement bon. Il souffle un baiser dans sa main. Boadicé sourit.

Citation :

je te laisse un temps te prélasser

Mandra la laisse seule se délasser dans l'eau chaude. La senteur de la lavande la calme. Elle ouvre ses jambes, pour que l'eau nettoie sa fleur, pour que la lavande la purifie du Démon.

Boadicé laisse ses cheveux flotter dans l'eau comme dans grandes algues. Elle se laisse même aller le visage sous l'eau.

Elle a vu qu'il y avait un pain de savon et l'attrape en se soulevant un peu. Il est aussi à la lavande, elle en respire le parfum et se frotte le corps avec. Pas une partie qui n'y passe pas.

mmmm, elle pousse un soupir d'aise, elle se sent mieux. Propre, moins épuisée. Elle pourra se montrer à Anne et Aubrée et surtout  Adam qui se méfie de Mandra.

Elle sort doucement de la baignoire où elle serait bien restée des heures, elle adore ça, et s'enroule dans une grande et douce serviette posée près d'elle.
Elle secoue et essuie bien ses longs cheveux. Heureusement qu'il fait chaud. Ils vont sécher rapidement.

Tout son corps, ses cheveux sentent divinement bon la lavande.

Oui. C'est bien, mais, maintenant ? Elle n'a aucun vêtement. Les siens sont déchirés soit par Mandra soit par....  un frisson encore.

Elle appelle "Mandraaaaaaa ! Mandra ! j'ai besoin de toi !"

Elle s'enroule un peu plus, fait les cent pas, voit la porte s'entrouvrir.

Citation :

Oui ma tit Boa?
tu as besoin de moi?
as bon?
Que te faut il?

Elle le regarde en riant, ouvre tout lentement sa grande serviette pour se montrer. Toute nue.

Il me faut des vêtements ! Je suis comme Eve ! Tu m'as dit, il me semble qu'il y avait des robes qui pourraient m'aller.

Boadicé avait refermé vite fait la grande serviette, ne tenant pas à redonner des idées à Mandra. Elle voulait pouvoir rejoindre Anne, Aubrée et Adam.

Mandra lui avait demandé que sa famille s'installe chez lui et ils étaient arrivés depuis un moment. Aubrée et Adam devaient s'impatienter.

Boadicé attendis sagement que Mandra revienne.
Il surgit dans la chambre les bras chargés mais ..... toujours pas de robe !

Mandra, mon coeur, tu n'est pas raisonnable !
Elle se mit à rire pourtant.

Elle regarda ce qu'il déposait devant elle. La nuisette lui plait bien, le corset aussi.

Citation :

des choses plus....surprenante!

Mais, Mandra ! Roch m'avait un jour parlé de ces choses. Il avait été soldat longtemps. Et.... il avait vu ça dans certains.... bordels.
Tu veux que je porte .... ces choses ? Mandra !

Les joues de la blondine rougir un peu. Elle n'était pas de ces femmes.....

Elle regarde Mandra.

hum..... Cela te plairait hein ? Peut-être alors, juste pour te faire plaisir et quand on sera sûr que personne ne nous dérange.

En attendant, s'il te plait va me chercher une vraie tenue.